60 députés demandent l’interdiction de « l’écriture inclusive » dans tous les documents administratifs

60 députés demandent l’interdiction de « l’écriture inclusive » dans tous les documents administratifs

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Paris Vox – Le bon sens et la raison étant particulièrement rares dans le monde politique actuel que l’on ne peut que souligner et encourager la démarche entreprise par soixante députés en vue de l’interdiction de la grotesque et laborieuse écriture dite « inclusive ».

Pour le promoteur de cette idée, François Jolivet (LREM), l’écriture inclusive est un «choix personnel et militant», qui «complexifie l’apprentissage de la langue».

Une soixantaine de députés, issus de la majorité et de l’opposition LR principalement, l’ont rejoint dans cette démarche et appellent à «interdire l’écriture inclusive dans les documents administratifs» et pour les personnes morales chargées d’une mission de service public ».

 «D’ailleurs, les experts de la dyslexie, dyspraxie et dysphasie sont préoccupés et alertent sur les difficultés supplémentaires engendrées par cette forme d’écriture», précise François Jolivet dans l’exposé des motifs de sa proposition de loi, cosignée notamment par la présidente déléguée du groupe LREM Aurore Bergé ou la vice-présidente LR de l’Assemblée nationale Annie Genevard.

Face à l’activisme débridé des militantes féministes et autres prétendus progressistes  qui veulent adapter la langue  à leurs délires idéologiques du moment et à leurs complexes identitaires, espérons que ce texte de loi trouve un large écho, qu’il nourrisse le débat et alerte le plus grand nombre sur les dangers de cette nouvelle risible expérimentation syntaxique qui aboutit à des aberrations telles que « toustes » (pour tous/toutes) ou celleux pour (celles/ceux) .