Paris Vox – Les « collages féminicides » s’exposent sur les murs parisiens et sur le net, dernière cible de ceux-ci : l’Islam.

Depuis plus d’un an, les rues de Paris sont envahies de nombreux messages collés par des activistes féministes.

Cette pratique initiée par Marguerite Stern, une ancienne « FEMEN », a essaimé et on peut croiser de nombreux collages similaires dans de nombreuses villes.

Cette forme de militantisme qui était réalisée assez discrètement par le passé s’affiche de plus en plus au grand jour. En témoigne cette vidéo réalisée à visages découverts par plusieurs jeunes femmes.

La croisade anti-religion des « collages féminicides »

Ces collages, qui s’en prenaient traditionnellement aux violeurs ou à la justice, ont désormais une nouvelle cible : la religion.

Des jeunes femmes ont ainsi été appréhendées à Toulouse alors qu’elles collaient une reproduction d’un dessin de Charb représentant le postérieur de Mahomet.

Ces collages ont été effectués en réaction à la décapitation de Samuel Paty. Le même type de collage a été observé en région parisienne, ce dernier prenant la forme du mot Laïcité par exemple :

Cette dénonciation ne se limite pas à l’Islam mais s’étend aux autres religions comme l’affirme Marguerite Stern réclamant : « le droit de critiquer les religions au même titre que n’importe quel dogme. ». Dans un autre tweet elle précise que son combat est aussi contre l’Eglise catholique : « Je n’ai pas plus de tendresse pour l’Église que pour l’islam. » Voilà donc qui est clair !