Paris Vox – Le militant « antifasciste », qui était accusé d’avoir participé au tabassage d’un militant nationaliste, a été remis en liberté sous caution. Il était incarcéré depuis le 18 avril.
Grâce au paiement d’une caution de 10 000 euros, réuni selon ses dires grâce aux soutiens de « camarades » français et étrangers, Antonin Bernanos a été remis hier en liberté et pourra se présenter « libre » à l’audience de son procès.
C’est le juge de la liberté et de la détention (JLD) qui a permis cette procédure, contre l’avis du parquet qui a fait appel.
La « figure de proue » des nervis gauchistes était incarcérée depuis le 18 avril pour «violences en réunion» et «vol avec violences ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours ».
Les faits s’étaient déroulés dans la nuit du 15 au 16 avril, à proximité de la cathédrale Notre-Dame alors en feu. En surnombre et armés, les « antifas » avaient lynchés des militants nationalistes reconnus près de la cathédrale.
Antonin Bernanos, étudiant en sociologie de 25 ans, avait quelques jours plus tôt achevé de purger, en liberté conditionnelle, sa peine de cinq ans (dont deux avec sursis) pour sa participation à l’attaque d’une voiture de police en mai 2016, quai de Valmy à Paris.