Paris Vox -Entrevue avec Vincent Vauclin de la Dissidence Française à l’approche d’une rencontre militante le 23 juin prochain
Paris Vox – La Dissidence Française (DF) est un mouvement national avec un ancrage local, pouvez-vous nous présenter la section parisienne et les actions qu’elle mène ?
Vincent Vauclin – Notre mouvement rassemble ceux qui n’hésitent plus à braver le politiquement correct pour forger une alternative véritable à l’idéologie libérale et mondialiste. La DF, c’est une communauté d’actions et d’idée qui se développe, et rassemble un nombre croissant d’adhérents qui se reconnaissent dans notre volonté de refondation du nationalisme Français.
C’est en particulier vrai en région parisienne, où depuis des années nous organisons un large éventail d’activités : collages d’affiches, tractages, entraînements sportifs, formations, sorties culturelles, distributions de vivres et de vêtements aux Français de la rue, organisation de conférences etc… En bref, notre section parisienne s’organise comme un espace communautaire d’action politique et sociale qui propose à ses militants une formation solide et un engagement concret, pour la France et les Français d’abord.
Paris Vox- Vous organisez une rencontre militante à Paris le 23 juin, à qui est destinée cette rencontre?
Vincent Vauclin – Ce type de rencontre se veut conviviale et ouverte au public. C’est une démarche communautaire et enracinée qui permet de développer notre réseau au niveau local, de faire connaissance, de tisser des liens, de sortir du virtuel. Des responsables et des militants de la Dissidence Française s’y retrouveront évidemment, mais pas seulement : nous invitons toutes les personnes intéressées à se joindre à nous pour échanger et débattre de l’actualité, de notre programme, de nos actions ou encore des projets à venir. Les participants pourront également y acquérir des t-shirts, tracts, stickers ou des brochures, et auront la possibilité d’adhérer sur place s’ils le souhaitent.
Paris Vox – La DF promeut la préférence nationale. Comment et pourquoi ?
Vincent Vauclin – Nous vivons une époque surréaliste. Une immigration massive de peuplement est imposée à notre pays, alors que le chômage, le mal-logement et la précarité sont le quotidien de près de 10 millions de Français. Des immigrés en situation irrégulière – c’est-à-dire des clandestins qui normalement devraient être expulsés sans délai – bénéficient en priorité de logements et d’un accompagnement social au détriment des Français qui crèvent dans la rue. C’est tout simplement inadmissible, et contraire au bon sens le plus élémentaire.
La préférence nationale est au coeur du projet politique de la Dissidence Française. C’est une idée simple : les nôtres avant les autres. Concrètement, nous voulons que les offres d’emplois, de logements, de formations et de prestations sociales soient réservées en priorité aux Français, et non aux étrangers. La notion de préférence nationale va plus loin puisqu’elle implique, par exemple, l’idée de privilégier systématiquement l’économie nationale plutôt que des concurrents étrangers lors de l’octroi de marchés publics. Mais également l’organisation d’une politique de protection de notre économie face à la concurrence déloyale – sociale, fiscale et environnementale – qui résulte de la mondialisation sauvage et du libre-échange.
C’est dans le but de populariser la thématique de la préférence nationale que nous avons décidé, il y a plusieurs années déjà, d’organiser régulièrement des tournées de solidarité populaire, durant lesquelles nos bénévoles apportent vivres et réconfort aux sans-abris Français qui, contrairement aux migrants fraichement arrivés, ne bénéficient pas des largesses de la République. Et c’est également dans cet esprit que nous avons organisé le 25 février de l’année dernière, en pleine campagne présidentielle, une manifestation qui a réunit plus d’une centaine de personnes, Place de la Bourse à Paris.
Paris Vox – Comment venir à votre rencontre du 23 juin ?
Vincent Vauclin – Rien de plus simple : il suffit de contacter la page Facebook de notre section parisienne (Paris Zone Dissidente) et de demander à participer. Ceux qui n’utilisent pas Facebook peuvent également s’inscrire en nous écrivant par mail, via la page de contact de notre site web (www.la-dissidence.org).