Paris Vox – Le PSG rencontrait, samedi 10 mars, le FC Metz. Si la victoire est belle, peu de chance que cela suffise néanmoins à rassurer les joueurs.
Le leader de la Ligue 1 rencontre la lanterne rouge du championnat pour ce “match des extrêmes” comme il est qualifié dans la presse sportive. La défaite contre Madrid hante encore le Parc des Princes qui semble déserté par de nombreux abonnés.
Unai Emery est conspué par les tribunes de la porte de Saint Cloud, à priori désigné principal responsable de la déroute européenne par certains supporters… Ce dernier a préparé une composition d’équipe similaire à celle alignée contre Troyes. Aréola garde toujours le but du PSG. La défense à quatre est composée de Meunier à droite, Silva et Kimpembe en charnière et Yuri à gauche. Au milieu de terrain, Lassana Diarra est aligné à la récupération avec Verratti et Nkunku devant lui. La ligne d’attaque est composée de Di Maria, Draxler et Mbappé.
Paris tente de mettre la pression d’entrée sur les messins. Le score est rapidement ouvert par l’intermédiaire de Meunier qui reprend une frappe contrée de Mbappé. Paris marque deux nouveaux buts par Christopher Nkunku, déjà buteur la semaine passée. Sa troisième réalisation est invalidée par l’arbitre alors que le but semblait bien valable. Kylian Mbappé inscrit un quatrième but dans les arrêts de jeu de la première mi-temps.
Paris applique à merveille le théorème fort avec les faibles et faible avec les forts…
Paris joue la seconde mi-temps en gestionnaire mais se crée de multiples occasions. La seconde mi-temps permet à Unai Emery de faire quelques changements. Timothée Weah, déjà rentré contre Troyes, foule à nouveau la pelouse.
En fin de match, Thiago Silva inscrit le cinquième but sur un corner tiré par Lo Celso entré en jeu à la place de Verratti.
Si cette victoire n’efface en rien la désillusion européenne de la semaine, elle aura le mérite de maintenir l’écart entre Paris et Monaco au classement…