Paris Vox – Fini le temps où être une princesse était un rêve de petite fille. Désormais, grâce à la théorie du genre et au lobbying LGBTIQ (ajoutez la lettre de votre choix…), tout le monde a le droit de vouloir être une princesse. Les petits garçons notamment.
En effet, la direction de Dinseyland Paris s’est finalement excusée après avoir refusé qu’un garçon passe une « journée de princesse ».
C’est par la mère anglaise de Noah, 3 ans, que le scandale est arrivé. Outrée par le fait que son garçon soit refusé par l’activité « Princesse d’un jour » au sein du parc d’attractions, elle a alerté l’opinion publique et les médias au travers d’une lettre ouverte publiée sur son blog. « Pourquoi mon fils ne peut-il pas être une princesse ? » interroge la maman en colère dans sa diatribe. Si une telle question aurait sans doute laissé pantois, accablés ou hilares nos grands-parents, elle est aujourd’hui prise très au sérieux, notamment par la direction du parc, terrorisé à l’idée d’être taxé de « discrimination » en imposant des « stéréotypes de genre ».
Alors que sa mère, savait « qu’il n’aimerait rien de plus au monde que de porter une jolie robe, mettre du maquillage comme maman et être pris en photo en étant une de ses chères princesses Disney» (sic), le parc aurait donc brisé le rêve de l’enfant par sa conception hautement rétrograde des sexes.
Pris à partie par de nombreux internautes, la direction du parc à donc annoncé qu’une enquête serait engagée et que le petit Noah était bien sûr autorisé à participer à l’activité. On espère que le responsable du refus initial sera sanctionné à la hauteur de sa faute.
Le site de Disneyland Paris a d’ailleurs modifié présentation de son attraction sur son site en indiquant «Princesse d’un jour est une prestation proposée au Disneyland Hôtel pour tous les enfants» et non plus « pour toutes les petites filles ».