Paris 16: Action du mouvement “Némésis” devant une école occupée par des migrants

Paris 16: Action du mouvement “Némésis” devant une école occupée par des migrants

Paris Vox – Une école désaffectée est occupée illégalement par des migrants présentés comme mineurs.

200 personnes qualifiées de “mineurs isolés”, comprendre par là migrants clandestins prétendant être mineurs, occupent une école désaffectée dans le seizième arrondissement de Paris depuis quelques semaines. Soutenus par plusieurs collectifs associatifs dont Utopia 56, ils exigent de l’État français une prise en charge.

Cette situation gêne une partie des riverains dans l’arrondissement cossu, peu habitué à ce genre d’occupations, a contrario du nord de Paris, zone généralement choisie pour ce type d’occupations… Cette école avait déjà été occupée, en 2021, par l’association Utopia 56, mais la Préfecture avait alors rapidement procédé à l’expulsion des occupants pour une “mise à l’abri”. Ce joli terme administratif signifie la prise en charge des migrants par des structures étatiques financées par le contribuable. Les squatteurs espéraient certainement la même issue, mais la Préfecture a visiblement d’autres priorités actuellement.

Face à l’occupation de cette ancienne école, plusieurs voix commencent à se lever. Ainsi, les militants de Reconquête Paris ont ainsi lancé une pétition il y a quelques jours.

Par ailleurs, de son côté, les militantes de Némésis, collectif féministe et identitaire, se sont rendues devant l’école afin de protester. Déployant une banderole au slogan “Libérez nous de l’immigration” et de fumigènes, les militantes ont été grossièrement insultées par des personnes qui rentraient dans l’école au moment de l’action. Les militantes de Némésis avancent qu’il s’agit de bénévoles d’Utopia 56.

⚠️NEMESIS AGRESSÉ PAR DES MILITANTS D’UTOPIA 56 ⚠️

Les insultes de “sales putes” et les menaces de “rouler” sur les jeunes militantes sont audibles dans la vidéo.

Utopia 56 a réagi à cette action de Némésis sur ses réseaux en parlant d’action haineuse et de harcèlement. L’association a toutefois condamné les insultes émises contre les militantes identitaires : “Utopia 56 condamne cette intimidation et déplore les insultes émises contre ce collectif, non représentatives des valeurs et objectifs de notre association.” Les associations féministes, promptes à s’indigner du moindre message sur les réseaux sociaux ou le moindre regard, ne se sont, elles, pas exprimée pas sur cette affaire. Il y a visiblement deux types de femmes, et celles ne partageant pas l’idéologie de gauche n’ont pas le droit à l’expression ni à la compassion.

On peut illustrer les limites de la sororité grâce à Sandrine Rousseau, pour qui les menaces sont le fruit de l’extrême droite. Pas un mot sur les insultes donc…