Paris Vox – Alors que l’Europe est confronté à des vagues migratoires de plus en plus massives, le Conseil de l’Europe vient de publier un rapport qui va rendre encore plus difficile le contrôle de celles-ci. Celui indique en effet que « dans le doute », il convient de considérer les « jeunes migrants » comme des mineurs, avec tous les droits et protections que cela implique.
Pour les Conseil de l’Europe, les jeunes migrants ne doivent pas être soumis contre leur gré à des examens médicaux visant à déterminer leur âge, et doivent donc, en cas de doute, être considérés comme des mineurs, devenant ainsi quasiment inexpulsables. L’argument du Conseil de l’Europe et que les tests médicaux et physiques peuvent être « effrayants » et « traumatisants » pour les jeunes migrants.
Aucun moyen donc pour les autorités de déterminer l’âge réel de migrants clandestins affirmant être mineurs mais ne disposant d’aucun papier d’identité. S’ils sont considérés comme des mineurs ces migrants ont immédiatement le droit à un hébergement et à des soins adaptés aux enfants ainsi que le droit au regroupement familial, d’où un nouvel appel d’air pour de nouvelles migrations.
Récemment, dans le Figaro, Dominique Bussereau, président LR de l’Assemblée des départements de France (ADF) et président du conseil départemental de Charente-Maritime, tirait la sonnette d’alarme devant l’explosion prises en charge des mineurs étrangers isolés, il affirmait à cette occasion que ces migrants mineurs coûtaient 1 milliard d’euros par an aux départements. Une situation dans laquelle Paris et l’Ile de France se trouvent en première ligne, le centre d’accueil de la Chapelle restant un important point de fixation de l’immigration clandestine, régulièrement démantelé et entraînant une répartition des migrants sur l’ensemble de la Région.