Paris Vox – La branche parisienne du mouvement politique patriote “Génération Identitaire” organisait samedi, 24 juin, sa soirée de “fin d’année militante”. L’occasion pour les “Apaches” de faire un bilan de leurs activités et d’envisager les évolutions et les combats à venir.
Pour clôturer leur année militante, les jeunes Identitaires parisiens s’étaient donc rassemblés. Militants, membres et sympathisants des Apaches étaient ainsi réunis dans un bar du quartier de la Bourse privatisé pour la soirée. Si la plupart des participants étaient originaires de Paris, quelques militants identitaires de l’hexagone avaient fait le déplacement pour renforcer les rangs, les militants Lillois notamment.
La soirée, bien que festive, était l’occasion de faire un point sur l’année en cours et revenir sur ses temps forts. Parmi ceux-ci, on peut notamment citer :
- l’action contre l’UOIF
- l’action lors de la vente des cadenas d’amour (voir notre article :https://www.parisvox.info/2017/05/19/generation-identitaire-conteste-destination-de-vente-cadenas-damour/)
- Les manifestations à Versailles contre l’installation d’un camp de migrants…
Sans oublier les “tâches” quotidiennes, le travail de fond des militants parisiens avec tractage, collage, gestion des outils informatiques… En effet, des dizaines de jeunes militants sillonnent les rues chaque semaine afin de faire connaitre leur mouvement et de marquer leur présence dans la capitale.
Une belle année militante pour ces jeunes hommes et jeunes femmes, ponctuée de succès et de coups d’éclat à forte résonance médiatique. L’annonce de l’affrètement d’un bateau en mer Méditerranée, afin de secourir les migrants et de les ramener sur les côtes d’où ils sont partis, a notamment fortement mobilisé et connu un grand écho médiatique.
Selon les dirigeants du mouvement, le tableau global de cette année est positif mais malheureusement terni par le fait que deux militants actifs ont perdu leur emploi en raison de leur engagement politique.
Un stand de produits dérivés était également proposé où l’on pouvait trouver des tee-shirts ainsi que les livres qui ont fondé le mouvement identitaire.