Paris Vox – Propagande LGBT et communautarisme sexuel jusqu’au tombeau… On ignorait que les personnes âgées LGBT aient besoin d’un « accueil spécifique » dans les structures de vieillesse. Ce sera en tout cas maintenant le cas dans les Ehpad Annie Girardot à Paris et Harmonie à Boissy-Saint-Léger. Après avoir été « accompagnés » durant un an par l’association Grey Pride (sic), ces deux établissement ont en effet reçu vendredi un label certifiant qu’ils peuvent accueillir des seniors LGBTQIA + « en toute bienveillance ».

Même si on peine un peu à comprendre le sens de cette phraséologie, cette nouvelle a en tout cas bien évidemment réjoui la Mairie de Paris qui espère que cet exemple sera bientôt suivi dans toute la France.

Déjà douze Ehpad de la Ville de Paris ont programmé une labellisation sur les prochaines années, tous dans la capitale ou en proche banlieue.

Dans le cadre de cette labellisation, les personnels recevront une « foramtion » spécifique pour assurer un accueil « bienveillant et bien-traitant » aux personne LGBTQI+. Mais n’est -ce pas ce que l’on attend du personnel d’un Ephad envers tous les pensionnaires, quelle que soit leur « orientation » sexuelle ?

Pour illustrer les autres bienfaits de cette labellisation, à l’Ehpad Annie Girardot, la référente Sandrine Tsong-Chin-Chuen, responsable de l’animation, a par exemple organisé une sortie au restaurant avec des personnes âgées, en demandant aux volontaires masculins de se maquiller pour « se mettre dans la peau d’une personne transgenre ». On peine à croire à une initiative aussi ridicule, en imaginant des vieillards peinturlurés au restaurant… On pourrait même légitimement considérer cela comme une forme de maltraitance, pyschologique en tout cas.

Autre objectif de ces militants LGBTQI+, « faire un travail sur la sexualité » pour « faire comprendre » (ou imposer) le fait qu’on peut avoir des amours et des pulsions même quand on atteint le grand âge. Et que la sexualité doit pouvoir se vivre « librement » en Ephad.

Et si la véritable « liberté » n’était pas de foutre un peu la paix à nos anciens …