Ile-de-France : les classes désertées pour l’Aïd

Ile-de-France : les classes désertées pour l’Aïd

Paris Vox – La fameuse « laïcité républicaine » n’est plus qu’un lointain souvenir, du moins en ce qui concerne son respect par les musulmans. Ainsi, vendredi dernier, jour de rupture du ramadan, certaines écoles d’Île-de-France étaient presque désertes, révélant l’ampleur de l’emprise de l’Islam tout comme celle de la substitution de population.

Le phénomène est également renforcé par des appels lancés sur les réseaux sociaux pour ne pas se rendre en cours, s’appuyant sur la circulaire n° 2004-084 du 18 mai 2004, relative à la loi du 15 mars 2004 prévoyant des « autorisations d’absence pour les grandes fêtes religieuses qui ne coïncident pas avec un jour de congé». Et depuis septembre 2022, l’Aïd el-Fitr figure sur la liste de ces « grandes fêtes religieuses ». Une opportunité saisie donc par de nombreux élèves, mais également par un nombre conséquent d’enseignants !

Un phénomène de masse comme l’illustrent divers témoignages publiés sur les réseaux, un parent d’élèves affirmant qu’il n’y avait « que 50 élèves sur 200 » dans l’école de son fils.

Selon la maire (LR) de Taverny et vice-présidente de région Île-de-France, Florence Portelli, interrogée par le Figaro : «Il manquait 400 élèves sur les 2000 personnes scolarisées en cours élémentaire à Taverny.» avant de déclarer : « En plus d’être ingérable pour les enseignants, c’est un immense gaspillage pour la cantine scolaire : les parents n’ont pas prévenu, et une quantité importante de nourriture a dû être jetée. Même si chaque année des élèves sont absents pour l’Aïd, cela n’a jamais été dans ces proportions : on voit bien que cette année, il y a une dimension anticipée, organisée, beaucoup plus que les fois précédentes».

Des absences « militantes » – effectuées sans demandes préalables – marquant une radicalisation identitaire et un renforcement du fait religieux.