Paris Vox – Anne Hidalgo ne sait décidément plus quoi inventer pour complaire à sa clientèle privilégiée, en l’occurrence la « communauté » LGBTQI+.

La Mairie de Paris a en effet annoncé que la capitale allait se déclarer « zone de liberté LGBTQI+ ». Un geste symbolique en réaction à, selon elle, «l’inquiétant recul des droits et (à) la répression vis-à-vis des minorités sexuelles et de genre dans le monde ».  Cette annonce a été faite à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’homophobie.

M. Jean-Luc Romero-Michel, adjoint chargé des « droits humains »(sic), de l’intégration et de la lutte contre les discriminations, présentera un vœu en ce sens au prochain Conseil de Paris début juin.

Le Parlement européen a adopté en mars une résolution similaire, en réaction aux « zones sans idéologie LGBT »  décidées par une centaine de villes polonaises.

Une nouvelle fois, cette décision démontre le décalage grandissant entre les préoccupations des parisiens (surtout ceux habitant les quartiers populaires) et les obsessions idéologiques des édiles socialo-écologistes. Ainsi, alors que les un réclament plus de sécurité, plus de propreté, le démantèlement des bidonvilles et des zones de deal de drogues, Anne Hidalgo et son équipe répondent par de nouvelles gesticulations démagogiques sans portée concrète pour la vie de la grande majorité des parisiens.