“Debout La France” se mobilise contre l’arrivée de migrants à Jouy-en-Josas

“Debout La France” se mobilise contre l’arrivée de migrants à Jouy-en-Josas

Paris Vox – Communiqué de presse de la section des Yvelines du mouvement “Debout La France”.


Debout la France Yvelines alerte sur les conséquences de l’arrivée de 300 migrants à Jouy-en-Josas 
Dans un article daté du 29 avril 2018, Le Parisien titrait sereinement « Un centre de formation pour les réfugiés va voir le jour dans les Yvelines ». Si on en croit l’auteur de l’article, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes à Jouy-en-Josas où le Maire de la ville est enthousiaste : « On adhère au projet et on va faire en sorte que tout se passe bien ». Ce projet prévoit d’accueillir dans la commune 300 migrants d’ici l’été, et plus de 5000 sur 9 ans. 
 

Alain LONGERINAS, Secrétaire Départemental de Debout La France dans les Yvelines et Bernard CAPDEVILLE, Délégué de la Deuxième circonscription, se sont donc rendus sur place mardi 2 mai pour aller à la rencontre de la population locale et recueillir son sentiment concernant ce projet démesuré au regard des 5500 habitants du bourg. La population nous a livré un tout autre son de cloche. 
 

Alain LONGERINAS déclare en effet : « Les habitants de Jouy-en-Josas que nous avons rencontrés sont au mieux pas du tout au courant de cette arrivée dans moins d’un mois, au pire, très inquiets et en colère ». Les commerçants craignent les nuisances, en l’absence totale de renfort policier début juin, ainsi qu’une baisse de leur chiffre d’affaire. « Deux habitants de longue date de la commune s’inquiètent énormément de l’impact sur le centre-ville ».

Alain LONGERINAS poursuit avec cette confidence d’une habitante : « Le maire habituellement si visible en ville est absent depuis que la nouvelle a été officialisée, il est devenu totalement invisible ».
 

Debout la France Yvelines dénonce une arrivée organisée en catimini, sans aucune concertation avec la population locale, qui est mal préparée et très mal acceptée. Il est demandé une concertation locale avec un véritable débat sur la question lors d’une réunion publique, notamment pour présenter des alternatives possibles au projet pour loger des SDF (Sans Domicile Fixe).

Tractage pour informer les habitants de la future arrivée de centaines de migrants.