Paris Vox – Voilà qui réjouira le cœur des nombreux étudiants français qui ne peuvent trouver de place dans les universités hexagonales : L’UPEM renouvelle cette année sont dispositif d’accueil et d’accompagnement des candidats « réfugiés ».
Comme l’indique les documents officiels « cet accompagnement consiste en un entretien préalable mené conjointement par le service de la Scolarité et le SIO-IP, voir procédure jointe. Ce temps d’échange a pour objectif d’aider le candidat dans le choix de sa formation et dans sa démarche de candidature en ligne puis le cas échéant dans ses démarches administratives et pédagogiques ».
Il n’est pas inintéressant de souligner l’existence d’un tel dispositif en faveur des apprentis étudiants migrants clandestins à l’heure où des mouvements étudiants dénoncent leurs conditions d’études…
On notera également, à l’heure où les universités françaises sont saturées, l’insistance de l’administration à inviter au traitement « bienveillant » des candidatures des migrants.
Le président de l’UPEM, Gilles Roussel, étant aussi président de la Conférences des Présidents d’Universités, on peut légitimement penser que cette politique “d’accueil” n’est pas limitée à ce cas particulier.