Ingérences étrangères : Open bar !

Ingérences étrangères : Open bar !

Paris Vox a le plaisir de proposer à ses lecteurs une sélection des retranscriptions écrites des chroniques d’Arnaud de Robert, diffusées quotidiennement dans la matinale de Radio Libertés.


La note de la DGSI dévoilée par la presse ces jours-ci, ne laisse que peu de doute sur l’implication du gouvernement chinois dans les manifestations de protestation de la communauté chinoise à Paris après la mort d’un chinois tué par des policiers alors qu’il les menaçait, semble-t-il, d’une arme blanche. Cette implication, doublée de menaces très explicites de la part du porte-parole du gouvernement chinois et d’une attaque au couteau perpétrée sur un ressortissant français à Pékin constitue un exemple inattendu mais comme toujours prévisible du résultat d’une immigration incontrôlée. Il n’est que de voir le déchainement du gouvernement Turc et du sultan Erdogan sur la Hollande et le Danemark après que ceux-ci aient interdit des meetings du parti présidentiel turc sur leur sol. Les menaces turques rappelaient même plus largement qu’aucun européen ne serait plus en sécurité nulle part dans le monde, même pour parcourir un seul mètre. On a vu par le passé des implications similaires de gouvernements très divers comme nous allons le constater.

Ces ingérences insupportables c’est qu’elles ne sont possibles qu’à partir du moment où les communautés d’étrangers sont assez conséquentes numériquement.

Ce qui ressort de ces ingérences insupportables c’est qu’elles ne sont possibles qu’à partir du moment où les communautés d’étrangers sont assez conséquentes numériquement. Cela signifie d’une part que les pays dits d’accueil les ont laissé grandir sans contrôle mais cela signifie également d’autre part que tout le blabla officiel sur l’intégration républicaine ou démocratique donc économique n’est qu’une vaste blague. On le savait déjà, mais les violentes piqures de rappel de ces dernières semaines sont là pour nous faire constater qu’un pays qui a en son sein des fortes communautés immigrées est un pays à souveraineté limitée. Oui, limitée, il faut le dire et le souligner. En France, les communautés chinoises, turques, tunisiennes, algériennes, marocaines, maliennes, albanaises ainsi que des ressortissants saoudiens ou qataris ont par exemples fait l’objet d’ingérences directes ou indirectes de la part des gouvernements des pays concernés que ce soit pour des affaires relevant du droit commun, des affaires politiques ou à caractère religieux. Et quasi-systématiquement, les dirigeants français ont plié genou et tenté des conciliations plus ou moins honteuses alors que la plupart du temps une attitude ferme aurait été la bienvenue. Il est vrai que nous n’avons pas à attendre grand-chose des incapables qui depuis des décennies font semblant de nous gouverner tout en vendant  le pays au plus offrant. Mais de cet assujettissement on ne parle pas beaucoup. Et il est piquant de constater que les pays pourvoyeurs d’immigration sont eux ethniquement assez homogènes. C’est ce que j’appelle la double peine migratoire qui vient morceler la cohérence ethnique et civilisationnelle du peuple français tout en mettant la France en dépendance géopolitique. C’est sûrement cela le « vivre-ensemble », une forme de domination-invasion pour notre bien à tous, nous qui sommes de toute façon originellement pêcheurs parce que coupables de la colonisation des XVIII et XIXe siècle.

Et cela va tellement loin que pas plus tard que vendredi dernier, 31 mars, le ministre tunisien de l’Education Néji Jalloul et son homologue dite « française » Najat Vallaud-Belkacem ont signé un accord officialisant l’enseignement de l’arabe dans les écoles primaires … françaises, voyons ! Les deux ministres ont par ailleurs évoqué la création d’une école tunisienne au cœur de Paris. Voilà. Voilà comment se dissout la souveraineté d’un pays, la souveraineté des pays européens. L’étau migratoire est une formidable machine à tuer. Une immigration forte dont les collabos comme Macron, Sarkozy ou Hollande extraient des soit-disant « élites », lesquelles viennent appuyer les pays d’origine pour écraser, transformer et soumettre par la loi, la force ou la terreur les peuples européens. Finalement pour quelqu’un d’un peu lucide, l’enjeu de toute élection sur notre continent est très simple : voter pour celle ou celui qui saura faire face et châtier les traitres. Bonne journée !