Paris Vox – Mardi 17 mai en début de soirée, deux gardiens de la paix ont interpellé un individu armé d’un couteau gare de l’Est, dans le 10e arrondissement de Paris. Âgé de 25 ans, l’homme d’origine nigériane est en situation irrégulière sur le sol français.

Le clandestin, particulièrement agressif, aurait tout d’abord menacé un employé du Mac Donald’s en lui mimant un signe d’égorgement avec son arme. L’homme aurait ensuite menacé un agent de sécurité avant de se diriger vers deux policiers arrivés sur les lieux.

Les gardiens de la paix ont alors dégainé leur arme de service, et sommé l’individu à plusieurs reprises de poser son arme. Celui-ci les aurait alors menace avec son couteau, les invitant à faire feu sur lui. Profitant d’un moment d’égarement du forcené, les policiers parviennent finalement à l’immobiliser et l’interpeller.

L’homme a été conduit au commissariat pour être entendu par un officier de police judiciaire dans le cadre de son placement en garde à vue. Examiné par un médecin, il a été jugé apte à être entendu. Les deux gardiens de la paix ont déposé plainte, tout comme l’agent de sécurité menacé.

Dans les médias évoquant l’affaire, on découvre une nouvelle façon de minimiser et de partiellement excuser ces actes de plus en plus fréquents dans les rues de nos villes. En effet, selon nos doctes analystes, il ne s’agirait pas d’agressions voire de tentatives de meurtres mais de « suicides par procuration » appelé « suicide by cop» aux Etats-Unis, une volonté délibérée de se faire tuer par la police. Il s’agit surtout d’encore un moyen de faire passer ces dangers publics pour, au final, des victimes. Ce monde malade marche véritablement sur la tête…