Paris Vox – Quand l’immigration incontrôlée nourrit le néo-esclavagisme … Depuis des mois, de nombreux migrants clandestins sillonnent les rues de Paris à Vélo pour « livrer des repas » en toute illégalité. Un phénomène qui prend de l’ampleur et inquiète.
A l’origine de cette situation, on trouve des autoentrepreneurs peu scrupuleux qui sous-louent leur compte à des migrants clandestins ce qui est en principe bien évidemment formellement interdit par les plateformes d livraison à domicile. Les migrants clandestins ainsi employés illégalement touchent une commission d’environ 50 % du montant de la course. Des revenus dérisoires qui apparentent cette activité à une nouvelle forme d’exploitation de la misère, un véritable néo-esclavagisme rendu possible par la présence de plus en plus importante de « sans papiers » prêts à accepter n’importe quelles conditions de travail.
Cette pratique fait également courir des risques aux clients qui se retrouvent sans le savoir à ouvrir les portes de leurs immeubles ou de leurs habitations à des personnes en situation irrégulière dont il est difficile de retrouver la trace en cas d’incident ou de problème quelconque.
Ainsi, on se souvient qu’un livreur de la société Uber Eats soupçonné d’avoir violé une cliente à Paris début août s’était avéré être un immigré clandestin originaire du Bangladesh.
Uber Eats France affirme l’entreprise a «mis en place des moyens humains et technologiques pour combattre le phénomène du travail illégal», notamment l’utilisation de lampes UV capables de détecter les fausses cartes d’identité au moment de l’inscription des coursiers. Pas forcément suffisant et ne réglant en rien la question des sous-traitants…
Du côté du ministère du Travail, on affirme que cette activité est surveillée par l’inspection du travail comme d’autres activités où le travail clandestin est fréquent comme le BTP. Avec la même grande efficacité apparemment…