Paris Vox – Un homme d’origine sri-lankaise a été mis en examen vendredi pour homicide volontaire, soupçonné d’avoir égorgé sa maîtresse dont le corps avait été retrouvé près d’un bois à Arnouville, il y a presque un mois.
L’homme a reconnu les faits pendant sa garde à vue, expliquant son geste par la volonté de «mettre fin à sa relation sentimentale avec la victime». On a connu des méthodes moins barbares pour cela, mais il s’agit peut-être là d’une « spécificité culturelle » dont la France a la chance de profiter grâce à l’immigration massive.
Le 31 mars, un promeneur a découvert près du bois d’Arnouville le corps d’une femme de 40 ans, égorgée. Elle aussi sri-lankaise et résidait à Sarcelles.
Les investigations ont permis aux enquêteurs de la police judiciaire de Versailles d’interpeller le suspect à son domicile parisien le 21 avril.
Les enquêteurs font été d’ «éléments probants» recueillis lors d’une perquisition et dans son téléphone.
Encore un « féminicide » sur lequel les militantes féministes risquent de se montrer discrètes, leur degré de réprobation semblant étrangement lié aux origines des criminels, sans doute pour ne pas risquer d’être accusées de « stigmatiser » certaines minorités.