Le livre, nouvel ennemi numéro 1 des « antifas »

Le livre, nouvel ennemi numéro 1 des « antifas »

Paris Vox – La Nouvelle Librairie, située en face du Luxembourg, au 11 rue de Médicis dans le 6e arrondissement de Paris, a été une nouvelle fois, cet après-midi, la cible d’une attaque menée par les courageux nervis « antifas ».

Ces derniers, avides d’autodafés, ont réussi l’exploit de briser la devanture ainsi que la vitre de la porte de la librairie avant de déguerpir. Un bilan misérable dont pourtant, n’en doutons pas, ils se vanteront sur les réseaux sociaux et autre fils de discussions de leurs divers groupuscules. Car les « antifas » semblent avoir désormais une nouvelle croisade : empêcher que soient vendus et lus des livres dont ils n’apprécient pas le contenu, généralement sans le connaître.

Missionnés par la Fnac ?

Petits kapos d’un nouvel Index, inquisiteurs au petits pieds et aux boutons d’acné mal camouflés sous leurs foulards, les « antifas » n’ont désormais pas de cible plus urgente et fondamentale qu’une librairie indépendante et dissidente vendant aussi bien du Maurras que du Michéa, du De Benoist ou du Orwell, du Péguy ou du Pasolini… auteurs, il est vrai, dont ils ne savent rien mais qu’ils voudraient voir disparaître, être épurés, des rayonnages des derniers libraires libres. Quand il ne restera que la Fnac pour se fournir en « produits culturels », les « antifas » seront sans doute satisfaits…

Idiots utiles et méchants inutiles

A l’heure où les véritables mouvements de contestation sociale les rejettent et dénoncent leurs agissements néfastes, les « antifas » se révèlent encore une fois pour ce qu’ils ont toujours été : les idiots utiles du système et les garde-chiourmes du « politiquement  correct» et de l’oligarchie dont celui-ci est le rempart.

La meilleure réponse face à ces piteuses tentatives d’intimidation : fréquenter toujours plus assidûment la Nouvelle Librairie, y acheter ou y commander l’ensemble de ces livres.

Coups de pelle contre la porte de la librairie