Paris Vox – Le sport en Ile-de-France n’échappe pas aux conséquences de la mutation démographique engendrée par l’immigration de masse et au développement d’un islam radical qui en découle. Prosélytisme religieux, refus de la mixité, prières ostensibles, ports du voile et d’autres tenues traditionnelles, éducateurs fichés S, les problèmes se multiplient donc au sein des clubs sportifs de la région parisienne.
Le problème est si profond que la région Île-de-France vient de mettre en place une « formation à la prévention de la radicalisation dans le sport ». Les personnes ainsi formées deviendront des « référents » au sein des 78 ligues sportives de la Région et devront promouvoir les « valeurs de la République » mais aussi repérer les jeunes en danger de radicalisation et d’embrigadement. Ce dispositif sera-t-il suffisant pour faire face ? On peut malheureusement en douter.
C’est la publication, fin 2015, d’une note confidentielle du Service central du renseignement territorial (SCRT), intitulée « Le sport, vecteur de communautarisme, voire de radicalisme », qui a fait prendre conscience aux autorités de la gravité et de l’étendue de la problématique. Le « noyautage religieux » de certains clubs et les dérives islamistes ont été mises en évidence, y compris dans des petits clubs de zones rurales, moins surveillés. Une situation particulièrement inquiétante dans le contexte de tension actuelle.
Les exigences communautaristes se multiplient parallèlement, de la suppression de l’alcool au club-house à l’interdiction d’accès à la salle aux femmes en passant par l’exigence de halal et les prières dans les vestiaires.
Les principales disciplines touchées sont les sports de combat, le football et les arts martiaux mais aucun sport n’échappe totalement à cette dérive communautariste et religieuse.